Le pass passe

Le pass passe

 

Dans la nuit le pass passe,

 Les dés pipés des députés soumis,

 Pleutres et peureux ont dit oui,

 Pour aller dans une impasse.

 

La dictature de la mafia chimique,

 Aime bien dominer et contrôler.

 C’est pathétique, voire comique,

 De les voir tous bien enrôlés.

 

Les peuples épris de finesse,

 Vivant sainement avec sagesse,

 Grâce à ces scientistes manigances,

 Ont la conscience en pleine émergence.

 

Des tours de pass passe,

 Illusions de pseudo-magiciens,

 Nous prenons pour des béotiens,

 Arnaques de pervers rapaces,

 Ceux qui avides noient leurs peurs,

 Dans l’accumulation de biens,

 Traitant l’autre pire qu’un chien.

 Nous choisissons la voie du cœur.

 

Nous aimons les tours de passe-passe,

 Pour entendre le rire de nos enfants,

 Des êtres riches et pleins en dedans,

 Qui savent dire non aux impasses.

 

Comme eux, nous allons apprendre,

 A dire oui à la vie, pour inventer et créer ensemble,

 Quelque chose qui nous ressemble et nous rassemble,

 Léger, profond, doux et tendre.

 

Par méconnaissance une triste engeance,

 Fait advenir une sinistre dictature,

 Rassurant les esprits immatures,

 Qui à cette caste prête allégeance,

 Par une piqûre qui ne guérit pas,

 Sauf ceux qui y croient,

 Sûrement question de foi,

 Les injectés pourront de ce pas,

 Se rassembler, s’amuser et même crier

 qu’ils sont contre et vont tout changer,

 tant qu’ils restent soumis à la mafia chimique.

 Les piqués d’ignorance sombrent dans le tragique.

 

Ça fonctionne ainsi dans le règne animal

 Que de choisir la protection du plus fort.

 L’humain conscient peut questionner le mal

 Et la maladie comme un précieux effort,

 Un tour de passe-passe pour comprendre,

 Que nos vies ont perdu leur sens,

 Que les microbes ne sont pas là pour prendre,

 Qu’ils nous aident à trouver le sens.

 

Car nos maladies parlent de nos blessures,

 Et racontent ainsi les souffrances intérieures,

 Les pollutions, les destructions, l’usure

 des êtres vivants et des destructions extérieures.

 

Celles d’une belle planète, où des êtres

 attendent notre précieuse tendresse,

 notre chaleur, notre humour et des kilomètres

 de mots doux et de respectueuses caresses.

 

Jean-Guillaume BELLIER mai 2021