J'ai toujours le choix ou comment réinstaller le programme Vivre.2021

Photo de Brandy Vaughan lanceuse d'alerte décédée en 2020

https://www.aimsib.org/2020/12/13/brandy-vaughan-decedee-en-quelques-heures/

 

J'ai toujours le choix

 ou comment réinstaller le programme Vivre.2021 ?

 

L'installation de cette dictature version 2021 se fait en éliminant les opposants par une violence insidieuse, et certains semblent l'avoir payé de leur vie comme Brandy Vaughan (https://www.aimsib.org/2020/12/13/brandy-vaughan-decedee-en-quelques-heures/. La censure existe, avec sa brutalité dans certains cas, parfois elle est plus grossière en pratiquant le dénigrement. Ainsi l'usage du terme de complotiste apparaît dès qu'il y a un désaccord et il permet d'éviter tout débat.

 

Privation de débat

 Il y a quelques années, le philosophe Emmanuel Juste Duits m'avait convié à participer au site wikidebat (https://fr.wikidebates.org) qu'il avait créé avec quelques personnes. Il faisait et fait le constat qu'une société a besoin d'un sens commun et doit être en mesure de dialoguer et de débattre sur tous les sujets. Je m'étais donc attelé à structurer le débat … sur la vaccination. Le sujet m'intéressant depuis 20 ans, j'avais une connaissance certes relative du sujet, mais suffisante pour commencer cette tâche. Nous avions la possibilité d'organiser un débat sur ce thème à la Cité des Sciences de la Villette à Paris. Les responsables étaient à même d'amener la contradiction à des chercheurs ou des médecins critiques de la vaccination, que j'avais contactés, avec entre autre feu le Professeur agrégé de biologie Michel Georget. Ces derniers étaient d'accord pour venir passer une journée pour tester le débat méthodique (un débat structuré en amont de la rencontre). Tout se met en place, sauf que le directeur de la Villette interdit la tenue de ce débat, arguant que les critiques de la vaccination allaient être violents. Comme l'avait dit une ministre, la vaccination cela ne se discute pas. Or l'avis contraire et donc le débat ne peuvent pas être mis de côté, à moins de vouloir une société totalitaire.

 

 Aucune société ne peut exister en niant un avis contraire, elle peut perdurer un temps, en écrasant toutes velléités de contradictions, mais elle se condamne à mourir. Le débat c'est la vie. Privé d'échanges contradictoires, nous ne pouvons plus penser le monde, l'homme devient identique. Certes l'ordre règne, mais c'est au détriment de la capacité à muter.

 

Pourquoi un tel acharnement à refuser la critique de la vaccination ?

 Il y a dans la remise en question du principe de la vaccination, et sa prétendue réussite à sauver des vies humaines, la remise en question du progrès, de la technologie et de l'industrie. Reconnaître que cela ne fonctionne pas aussi bien que nous le pensions, c'est remettre en cause les bases même d'une vision de la santé, qui passe par l'usage de la chimie et maintenant des OGM (je simplifie un peu). Sont-ce les enjeux financiers qui empêchent l'analyse sereine ?

 Je le pense en partie, et c'est aussi plus profond. Il y a derrière une vision de la vie dans laquelle l'homme ne peut pas vivre sans l'aide de la technologie. Daliborka Milovanovic l'explique avec subtilité dans cet article http://www.daliborka-milovanovic.fr/pour-un-paradigme-social-et-sanitaire-ecologique/

 Il y a donc nécessité à prendre un peu de hauteur.

 

 

Des sources alternatives pour être éclairé

 Nous sommes soumis à une intense propagande et à moins de se couper de tous les moyens d'échanges, difficile d'y échapper.

 Face à ce déferlement d'informations, nous pouvons apprendre. Bien souvent, à cause d'un conditionnement scolaire, nous pensons que nous ne sommes pas en mesure de comprendre. Perdus face à cette somme d'informations d’apparence complexe, nous pouvons nous croire incapable d'analyser. Or, ma pratique d'accompagnant me montre qu'une fois les traumas de l'enfance guéris, nous pouvons tout apprendre et comprendre. C'est une question de temps et de moyens qu'on se donne. Aujourd'hui il est possible de comprendre les critiques de la vaccination en passant par des ouvrages accessibles, comme ceux du Dr Michel de Lorgeril, ou feu Michel Georget. J'ai lu au moins une quinzaine de ces auteurs, essentiellement en français (il en existe en Allemagne, aux Etats-Unis, etc.).  Ce sont des lanceurs d'alerte. Leur rigueur, leur indépendance et leur éthique les poussent à dire et à faire le constat que la vaccination est certainement un mythe collectif. Souvent ils l'ont payé cher, car ils ont été mis à l'écart.

 

Être éclairé, c'est aussi comprendre que la maladie a un sens. C'est aussi sortir de la logique actuelle qui rend un virus responsable de symptômes pénibles voire mortels. Les auteurs, chercheurs pour la plupart, alertent sur l'état catastrophique de notre planète. Quand dans les élevages intensifs les animaux tombent malades, le sont-ils de leurs conditions de vie épouvantables, de leurs aliments abjects, du manque de place, de lumière et de nature - ou d'un virus ? Certains préfèrent accuser les virus (ou les bactéries). Ce raisonnement est tellement simpliste qu'il devrait être une évidence. Or c'est l'inverse. Le degré de folie actuelle fait qu'au lieu de comprendre que nos conditions de vie sont en cause, on désigne un virus comme coupable. Le conditionnement est puissant et il n'a rien d'inhabituel. A chaque époque son ennemi, qui rassemble le bon peuple derrière le bon chef.

  

Instauration d'un régime de dictature

 Et voilà, que progressivement les lanceurs d'alerte ont été mis de côté. Leurs idées n'ont été que peu entendues. Habituée au rapport de domination et de soumission, une masse humaine préfère l'illusion et le mensonge pour continuer à vivre dans une pseudo-tranquillité.

 Aujourd'hui les dirigeants ne prennent plus de soin à rendre leurs actions bienveillantes. Agissant comme ils l'ont appris enfant, ils ont choisi, voyant que les Français refusaient leur produit chimique, d'utiliser la violence.

 Ils menacent de priver de liberté et de recourir à la force.

 

Fabrication de boucs émissaires

 En même temps, une partie de la population rejoue ses traumas du passé. Certains vaccinés traumatisés dans leur enfance par des violences ordinaires, mus par la peur instillée depuis des mois, craintifs à l'idée de dire non, se sont soumis. Pour eux, ils n'ont pas le choix. Enfants, ils ont été violentés quand ils ont suivi leurs envies, et les adultes ne leur ont pas laissé de choix (ou des faux choix). Aujourd'hui nous avons le choix, et nous savons qu'il y a des conséquences à nos choix. Alors sous les menaces, certains renoncent à leur intégrité physique, comme dans le passé.

 

Les vaccinés sont alors dans un conflit intérieur bien souvent inconscients. Contraints à se piquer, persuadés que c'est LA solution, ils entrent dans une peur illogique, celle que les non vaccinés les contaminent. Usant d'arguments pseudo-altruistes, ils tentent d'inciter les hésitants. Face aux refus polis, les voilà, qui passent à la menace. N'acceptant pas un non qui les renvoie à leur soumission, ils veulent soumettre à tout prix. Ils veulent imposer leur vision du monde.

 

Imposer une vision du monde

 Nous portons chacun notre vision du monde. L'art de vivre a été pendant longtemps de tolérer les façons de vivre du voisin. Certains humains, mus par des blessures du passé non guéries, les projettent sur l'autre, car c'est plus facile de rendre tout le monde conforme et soumis. L'acceptation de l’altérité et d'une autre façon de vivre pourrait être possible si les enfants en faisaient l'expérience. Or la majorité fait l'expérience de la soumission et du refoulement de ses sentiments.

 L'habitude est donc prise de vivre dans un monde de soumis-dominés, ou ce dernier impose son mode de vie. Le dominant est habité par la peur, dont il n'a pas conscience.

 

La peur, ferment de la division

 Il se sert alors des peurs pour diviser les soumis. C'est ce qui se passe aujourd'hui, où une partie des Français (et de l'humanité) se divise pour le bénéfice du dominateur et de ceux qui le suivent. La peur coupe du sentiment de confiance envers les autres. Elle met dans un état d’hyper-vigilance, où tous les sens sont en alerte. Nous pouvons vivre avec de la peur, si nous pouvons avoir des espaces et des temps de sécurité et de détente. Sauf qu'à force de vivre tout le temps dans la peur, sans réelle pause, les corps somatisent. Merci à la maladie de dire ce qui a été refoulé et enfoui.

 La division est diabolique : dans son sens étymologique, le diable coupe et sépare. C'est potentiellement une chance de renouer le dialogue, d'oser se parler et se dire les désaccords. C'est une possibilité pour le soumis d'affirmer sa puissance et pour le dominant de guérir des traumas qui génèrent ses peurs.

 

La confiance pour le dialogue

 Il y a donc, dans les temps que nous vivons, des espaces pour échanger et dialoguer. Si les autorités ne les créent pas, c'est que leurs peurs sont trop grandes. Nous pouvons à titre individuel les trouver. Pour les soumis, il s'agit de manifester notre puissance à Être qui nous sommes, à exprimer ce que nous pensons, et à manifester ce que nous souhaitons.

 Pour les dominateurs, il s'agit d'entendre l'immensité de leurs peurs, de les sentir et de comprendre qu'ils ne sont plus dans le passé. L'autre est autre, et peut le respecter et respecter son territoire.

 Cette confiance doit venir d'une volonté consciente d'au moins l'un des deux.

 C'est donc celui a qui la conscience la plus grande qui fait le premier pas. Ce premier pas peut être de dire non, pour celui conditionné à se soumettre.

 

C'est pourquoi j'invite chacun à se relier à son Être, à entendre et à sentir ses blocages.

 La thérapie permet de guérir de ses peurs de la maladie, pour les uns, et de tenir bon pour faire respecter ses valeurs, son corps et son Être pour les autres. Ainsi le dialogue et le débat serein pourront renaître, exister et donner de beaux fruits.

 C'est pourquoi je consacre mon temps à partager mon savoir, ma présence et mon attention à celles et ceux qui veulent cheminer.

 Je vous convie à expérimenter des processus naturels de guérison et de transformation. Vous pouvez me rejoindre dans mes stages ou en accompagnement individuel. Vous pouvez aussi trouver de l'aider chez les milliers de personnes qui consacrent leur temps à cela.

 Nous pourrons alors, ensemble, commencer à d'abord imaginer un monde à vivre, pour le créer ensuite. Il est à parier qu'il soit bien différent de l'actuel.

 

Merci à Pascale Schupp, gestalt thérapeute pour sa finesse dans la relecture.

Jean-Guillaume Bellier, 20 juillet 2021