Debout dans la tempête

Debout dans la tempête

A mes amies humaines et amis humains.

 

C'est la tempête et si nous sommes bien secoués, c'est qu'une mafia médicale tente d'imposer sa loi. Elle est une occasion d'affirmer qui nous sommes et d'être pleinement souverains de nos vies.

 

L'adversité nous invite à suivre une voie où nous voulons respecter la vie, la nôtre et les autres, sous toutes leurs formes. Notre Être a besoin d'amour, d'eau pure, de lumière et d'aliments naturels pour vivre pleinement.

 

Or un vieux monde perclus de souffrance veut nous imposer des injections de produits chimiques potentiellement nocifs et probablement dangereux. Nous voilà face à une tension extrême pour oser être qui nous sommes et dire oui à nos choix et à nos idées.

 

Depuis des années et de façon plus intense depuis mars 2020 tout a été bousculé. Quotidiennement, nous avons accepté de petites compromissions. Nous avons été réactivés dans nos blessures du passé. Nous avons ressenti le trouble de la situation. Les maltraitances des autorités administratives, sous couvert de bienveillance, ont réactivé nos petits et grands traumas du passé, nous rendant tantôt confus tantôt plus lucides.

 

Lundi 12 juillet 2021, un groupe d'hommes vient de faire un coup d'État. Ils parachèvent leur œuvre, celle de soumettre et d'injecter des produits chimiques aux effets toxiques méconnus.

 

Ce coup d'État voudrait nous obliger à suivre leur vision de la vie. Un des effets, c'est que nous revisitons nos mémoires individuelles et collectives liées à la soumission. Nous reviennent en mémoire l'obéissance apprise à l'école ou auprès des adultes quand nous étions enfants. Se ravivent des souvenirs plus anciens, ceux des multiples guerres de religion, les croisades, l'inquisition, les cathares, les juifs, les chasses aux sorcières et les persécutions de toutes sortes.

 Ce que nous savions possible, l'instauration d'une dictature, est en train d'arriver et semble se dérouler de manière conforme à leur plan.

 Pour celles et ceux qui rêvent d'une Terre où l'humanité apprend à vivre en paix avec elle-même et avec le vivant, quel choc !

 

Cette civilisation industrielle est au bout et refuse de mourir. Ces vieux démons resurgissent. Occupés à faire la fête, à garder le pseudo-confort d'une vie moderne et de voyager de par le monde, une masse a choisi la facilité de la soumission à une injection, voire plusieurs et pour longtemps. Leur corps est devenu une marchandise, qui demandera à être améliorée, à subir des mises à jour comme un programme informatique incomplet.

 

Peu importe les effets car la croyance de retrouver la vie d'avant a eu raison de toutes les digues.

 

La pression sur celles et ceux qui refusent est devenue énorme.

 

De plus comme la carotte ne fonctionne pas, voilà la menace de privation. Et à nouveau combien de répétitions de maltraitances infantiles se (re)jouent là ?

 

Et combien la manipulation est terrible de faire croire en une injection altruiste !

 

Et combien le machiavélisme est complet en pratiquant la censure, en empêchant tout débat et en le laissant à chacun avec ses proches, sa famille, ses amis, ses collègues.

 

 

Mafioso chimistes vous voulez violer nos êtres et les êtres dont nous avons la responsabilité, ceux qu'on appelle enfants, qui sont des êtres tout autant éveillés que les plus vieux !

 Vous nous souhaitez ignares et obéissants dans vos écoles.

 Vous nous voulez débiles avec vos matches de foot, vos jeux olympiques et vos courses de vélos.

 Vous nous voulez consommateurs dans vos centres commerciaux, vos séries niaises et vos séjours de vacances.

 Vous nous voulez soumis et dociles pour garder la mainmise sur vos richesses, laissant un néant écologique.

 Vous nous voulez mutilés, en transformant nos corps avec des technologies sous prétexte de les améliorer...

 Vous nous préférez objets confus des bistouris et des hormones coupant seins et pénis, au lieu de répondre aux souffrances psychiques.

 Vous nous aimez drogués à toutes les substances chimiques dont vous abreuvez l'humanité.

 Vous nous voulez dépendants de vos semences, de vos aliments toxiques et d'un mode de vie absurde.

 Vous devenez riches par milliards de vos produits prêts à jeter, nous laissant dans un marécage de déchets, de particules de plastiques aux radiations nucléaires.

 

Par vos écoles, par vos programmes télévisés abrutissants et par la soumission à nos parents, le temps de notre éveil est parfois long. Mais nous sommes là pour ça.

 Sachez aussi que nous savons qu'un bourreau n'existe que parce qu'il y a une victime. Ainsi nous n'alimentons plus ces jeux relationnels pervers alternant bourreau, victime et sauveur.

 Si enfants nous avons subi vos manigances, merci de les avoir accomplies avec autant de bêtise et de grossièreté.

 Merci de vous vautrer dans une débauche de biens matériels inutiles. Grâce à vous, nous sommes prêts.

 Nous avons compris !

 Nous n'allons pas faire une nouvelle révolution pour revenir au point de départ. Nous n'allons pas voter pour des pantins qui promettent de tout changer, et qui ne changent pas le fond. Nous n'allons pas voter pour valider des faux choix, pour repeindre la cage en rose, bleu ou doré.

 Merci car nous avons appris et compris que les êtres que nous avons la responsabilité d'accompagner, les enfants, sont le monde de demain. Déjà que nous réparons les dégâts de vos écoles-prisons, usines à conditionnements, machines à opposer, à rendre compétitif, lieux du meurtre des enfants, sous prétexte de les sauver.

 Si ce n'était pas clair pour certains, merci de votre volonté de tous les piquer de vos injections. Nous avons compris.

 Merci pour ces infirmières, pour ces femmes en majorité, qui sont vos combattantes de l'inutile dans vos usines à soi-nier. Merci pour elles car elles sont les victimes de vos mensonges et complices - à croire qu'elles sont utiles à appliquer vos protocoles technocratiques qui visent à écouler des drogues industrielles chimiques. Vous les voulez soumises et dociles, car libres et pleines, elles cessent d'appliquer vos protocoles car elles sont des guérisseuses, débordantes d'Amour. Merci pour elles.

 

Votre monde s'effondre et c'est une question de temps.

 

Nous en avons beaucoup, du temps, car nous savons que nous sommes bien plus que nos corps. Nous sommes la mémoire de nos incarnations, nous sommes la résultante de tous nos aïeux.

 Merci, car même si c'est parfois difficile de trouver le chemin pour entendre la voix de notre âme par-delà les cris de nos peurs, les tremblements de nos tristesses et les vociférations de nos colères, nous apprenons. Nous savons accueillir toutes nos émotions, qu'enfants nous avons dû refouler, ravaler et nier. Nous savons les entendre, en faire notre puissance, ainsi nous écoutons la voie de notre Être.

 Et si dans le passé, nous avons déjà perdu la vie, ou si nos ancêtres l'ont perdue aussi pour des idées, cette fois-ci nous continuerons à vivre.

 

Nous voulons vivre et inventer, créer et aimer cette vie, sur cette Terre avec TOUTES les formes de vie. Personne n'est un ennemi, ni les loups, ni les virus, ni les bactéries, ni les tiques... Nous allons inventer une autre façon de vivre, peut-être allons-nous tâtonner. Nous savons qu'une vie c'est long et court à la fois. Nous savons que la mort est un passage. Ainsi nos âmes sont légères, car nous avons choisi l'intégrité et le respect de notre conscience. Nous n'avons pas fait votre choix, celui de l'obéissance à des pseudo-maîtres qui punissent ou récompensent.

 

Alors dans nos expériences terrestres, nous serons sereins du début à la fin, car la conscience d'Être éclaire nos pas et nous guide.

 Nous n'avons plus besoin de vos rituels républicains, chrétiens, hindouistes, bouddhistes, islamistes, car nous sommes libres de nous relier à la Source, de communier et d'éveiller nos Êtres véritables.

 Peut-être qu'en chemin nous allons trembler, tomber et tituber et alors ? Et alors ?

 Nous apprendrons.

 

Vous êtes agrippés à vos peurs, à votre pouvoir, à vos illusions de croire faire le bien, de protéger et de sauver en nous soumettant « pour notre bien. ». Nous n'aurons en apparence plus rien à nous dire. Il est probable que la coupure avec votre humanité vous empêchera de nous comprendre.

 Nous aurons besoin de courage pour inventer, là où vous avez besoin de récompenses ou de punitions pour avancer, et nous trouverons ce courage en sentant nos peurs.

 Nous aurons besoin de joie, là où vous cherchez le divertissement pour fuir vos blessures et vos traumas, et nous trouverons la joie dans l'accueil de nos peines.

 Nous aurons besoin de puissance, là où vous voulez du pouvoir et c'est dans notre colère chérie et accueillie que nous trouverons la puissance.

 Nous aurons besoin d'Amour, là où vous cultivez la compétition et la haine, et notre cœur débordera d'un amour sincère.

 Ainsi nous ne voyons en vous que la forme que prend la vie pour nous aider à muter.

 Ainsi nous restons disponibles pour vous aider à guérir les blessures de vos corps et de vos âmes.

 Nous sommes patients et attendrons le temps nécessaire que vos âmes chatouillent vos corps et chantent à vos oreilles.

 A ce moment-là, vous saurez vous rappeler que nous, frères et sœurs, partageons cette même humanité.

 

16 juillet 2021 Jean-Guillaume Bellier

 Photo : Sina Adrian